Mapecoat TNS métamorphose les surfaces urbaines et leur donne du peps. Mais qui se cache derrière les incroyables réalisations des terrains de Red Bull à Vidy ou de la FIBA à Mies? Rencontre avec l’artiste Serge Nidegger, plus connu sous le nom de Lowrider – du talent à l’état pur.

Bienvenue dans le monde de Serge Nidegger alias Lowrider!

Jeudi matin, quartier de Beaumont, Fribourg. Van à rénover, terrasse avec palmiers, graffiti «The Palm Beaumont» et une multitude d’enseignes faites à la main. Déjà, l’impression d’avoir été téléportée aux États-Unis. Le voyage continue lorsque l’on pénètre dans l’atelier de l’artiste. Un bar pour accueil, différentes machines de sérigraphie, une pièce cachée – sa pièce préférée destinée à la peinture et la création d’enseignes publicitaires – des pinceaux et pots de peinture, de la feuille d’or, des t-shirts.

Serge Nidegger est un passionné. À 8 ans et alors collectionneur d’autocollants, il découvre qu’il existe un métier qui imprime ce qu’il collectionne – une révélation. Après un apprentissage de sérigraphe et peintre en lettres, il fait des expériences dans différents ateliers et voyage. Rapidement, il fonde son entreprise pour créer ce que les ateliers standards ne font pas et sortir du cadre.

Lowrider

Début 2000, Serge crée «Lowrider», un nom qui détonne et lui colle à la peau puisque, dans le milieu, on l’appelle Serge Lowrider. Lowrider est le titre d’une chanson des années 1970. C’est aussi une voiture basse qui saute, comme dans les clips de rap américain. Et Serge d’insister: «Ces voitures, on les décorait. C’était des heures de travail, de minutie, d’artisanat» – au même titre qu’il ne compte pas les heures passées à peaufiner ses créations.

En créant son entreprise, Serge a vu juste: «J’ai su assez vite m’orienter vers ce qu’il n’y avait plus – enseignes peintes à la main et ce côté peintre en lettres traditionnel». La tendance va, selon lui, vers le beau. «On a envie de belles choses faites à la main. Les villes sont de plus en plus ouvertes au street art, on en fait des festivals, on peint les terrains de basket et on se rend compte qu’une ville colorée lui donne un attrait touristique» – une aubaine pour Serge Lowrider, de plus en plus contacté par des communes pour les peindre et les rendre uniques.

Après 33 ans de métier, Serge a toujours la même ferveur: «Ici, on n’a pas deux jours identiques. On s’améliore, on apprend. À chaque défi, je dois réfléchir à une solution, faire des tests, essayer».

«J’espère que ce que je fais durera 100 ans, voire plus, et inspirera les générations futures.»

Technique et style à l’ancienne

Serge travaille sans chablon, la plupart du temps à l’ancienne, à main levée. Il crayonne beaucoup, fait des esquisses. Pour la réalisation, il s’aide de quadrillages qui correspondent à des carrés d’un mètre – une vieille technique efficace: «Je reporte les carrés d’un mètre sur le sol et ensuite je reproduis à l’œil. Et ça marche, mais le cerveau bouillonne. Dans ces moments-là, je suis dans ma bulle et ne peux être interrompu». Il utilise parfois la technique du poncif pour reprendre des détails ou des logos. Évidemment, si les techniques plus modernes lui permettent de gagner du temps ou de présenter un dossier professionnel à un client, il y recourt sans hésiter.

Serge s’inspire des années 50–60, où la publicité était, selon lui, plus directe. Jeune, il a fait beaucoup de graffitis, une bonne école de gestion des grands espaces. Souvent, il arrive devant un mur et trace juste. Ce qu’il fait, il le fait avec l’envie de transmettre: «J’ai reçu de belles choses en héritage et je veux faire pareil. J’espère que ce que je fais durera 100 ans, voire plus, et inspirera les générations futures».

Lowrider & Mapei

Serge Lowrider a découvert Mapei grâce à son mandat pour le terrain Red Bull à Vidy, un soulagement: «La première fois que j’ai dû faire un sol, je suis allé dans un magasin, j’ai pris de la peinture pour passages piétons et c’était une horreur: à solvants, mauvaise odeur, impossible d’être précis. Tandis qu’avec Mapecoat TNS Race Track, je peins presque comme à l’acrylique. J’arrive à être précis et propre sur de grands formats, malgré la granulosité».

Depuis, il a fait appel à Mapei pour le terrain de la FIBA (Fédération internationale de basket-ball) à Mies. À nouveau, il a été séduit par la qualité des produits et du service avant-/après-vente, la possibilité de développer des couleurs sur mesure et le suivi technique.

Serge Lowrider est rassuré d’avoir trouvé en Mapei un partenaire de confiance pour ses peintures au sol avec des années d’expertise. Lui qui ne lésine pas sur la qualité – car on perd beaucoup de temps et d’argent si on n’opte pas pour les bons outils ou produits – est ravi des produits Mapei et de sa large palette de couleurs qui lui permettront de réussir ses futures réalisations au sol.

Du tac au tac

  • Grandes ou petites surfaces?
    Grandes surfaces
  • Dedans ou dehors?
    Dehors
  • Peinture au mur ou au sol?
    Mur (pour l’instant)
  • Couleur préférée?
    Aucune
  • Œuvre préférée?
    Le terrain de la FIBA
  • Outil préféré
    Le pinceau
  • Une autre passion?
    Le surf
  • Votre plus grand rêve?
    Je n’ose plus en avoir. Je rêvais de faire un terrain de basket, de bosser pour la chocolaterie Villars. Je rêvais de travailler pour Nike et Jordan. Et je l’ai fait. Je n’ose plus rêver. Mon rêve serait de pouvoir travailler jusqu’à 75 ans.

Mapecoat TNS Race Track – le produit de Serge Lowrider

L’opacité de ce produit est incroyable, c’est génial d’avoir un produit avec un bon pouvoir couvrant pour peindre des sols. Le fait qu’il soit à base d’eau est agréable, car nul besoin de mettre un masque et la peinture sèche vite.

Avec Mapei, j’ai trouvé mon produit pour peindre les sols. Et je ne suis pas près de changer, car la qualité du produit et du service avant-/après-vente ne cessent de me convaincre.

Découvrir le produit:  Mapecoat TNS Race Track
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